Pour débuter la photo animalière en forêt, vous avez à définir plusieurs critères, dont le budget. Le choix et la qualité du matériel photographique en dépendront. Pour gagner du temps dans la découverte de ce loisir nature, je vous propose 10 trucs et astuces pour aller à l’essentiel et éviter les erreurs. Pour photographier la faune sauvage, il est question d’avoir les bases pour réussir ces photos. Nous sommes tous passés par là ! Alors prêt pour commencer ?
10 Conseils et astuces
La photo animalière en forêt se prépare tant dans le choix du matériel photo que dans la préparation des sorties. Pour cela, voici une liste de conseils à suivre pour débuter.
- Quel matériel pour la photo animalière en forêt ?
- Quel est le meilleur mode pour la photographie d’animaux ?
- Quelles caractéristiques de carte mémoire prendre ?
- Quels habits et accessoires choisir ?
- Pourquoi se documenter préalablement ?
- Où rechercher des animaux sauvages en forêt ?
- Pourquoi connaître son environnement immédiat ?
- Quel est le meilleur moment de la journée pour la faune sauvage ?
- Pourquoi caler son calendrier avec celui de la nature ?
- Quel logiciel de développement photo utiliser ?
Techniquement, vous comblerez peu à peu ce qui vous manque pour faire de belles photos. Et puis, l’expérience venant, certaines espèces de mammifères ou d’oiseaux n’auront plus de secret pour vous. Cela demande du temps et de la patience, mais je pense que votre parcours sera enrichissant. Tous les photographes animaliers que je côtoie ont tous des anecdotes remplies de l’émotion d’une rencontre avec la faune sauvage.
Quel matériel pour la photo animalière en forêt ?
Aujourd’hui, le marché des reflex numériques est assez large pour la photo animalière. Vous avez le choix entre les reflex numériques et les appareils photo hybrides pour l’animalier. Pour la taille des capteurs, vous trouverez notamment le plein format appelé full frame (24×36) et les capteurs APS-C. Si vous voulez vous familiariser avec ces termes, je vous invite consulter le lien ci-dessus.
Cette partie est déterminante, car d’elle dépendra votre capacité à saisir les sujets dans de bonnes conditions techniques. Avec un budget limité, il est possible d’acheter un zoom Sigma de 150-600 mm avec un boîtier reflex Canon de gamme moyenne (EOS90D) en neuf pour moins de 2300 €. Dans ce combo, vous disposez d’un appareil disposant de 32 Mpx de définition capteur APS-C. Sa sensibilité monte à 25 600 iso. La rafale est de 10 images/s. Chez Nikon, son équivalent est le D500 avec ses 20 Mpx et sa sensibilité max de 51 200 iso. Cet appareil photo offre la même cadence que le 90D. Le prix de l’ensemble est légèrement supérieur avec un peu moins de 2700 €. En occasion, il est tout à fait possible de réduire l’enveloppe à consacrer au départ, surtout si vous avez un doute.
Sachez quand même que plus les appareils photo pros sont capables de délivrer des images sans bruit numérique et de qualité, même à haute sensibilité. C’est la raison pour laquelle, les amateurs de photo animalière en forêt achètent des reflex haut de gamme !
Pourquoi une si longue focale pour l’animalier ?
Il est compliqué d’approcher les animaux sauvages en forêt ou ailleurs avec un smartphone, vous en conviendrez ! Plus, vous garderez de la distance entre vous et la bête, moins le risque de fuite sera important. Donc, une longue focale permet de voir de loin. Cela n’empêche pas de s’approcher dans les règles de l’art ou de faire un affût.
En résumé, l’idéal est de choisir la distance qui vous permet de réaliser une bonne image sans faire fuir le sujet. Le zoom 150-600 est une base pour débuter. Les photographes animaliers professionnels et amateurs experts utilisent des téléobjectifs allant de 400 mm à 600 mm (avec ou sans multiplicateur) avec une ouverture F2.8 à F4.0.
Quel est le meilleur mode pour la photographie d’animaux ?
Comprendre quelles sont les commandes utiles qui vous permettront de parer aux différentes situations est essentiel. Les appareils photo numériques arborent des boutons, pad, des sélecteurs avec de nombreuses fonctionnalités. Ne pas savoir les utiliser vous prive d’un résultat de qualité. Il existe certes, des fonctions simplifiées comme les modes portraits, paysages ou sport. Mais le photographe expert ira plutôt sur les modes Manuel ou AV (chez Canon) ou A (chez Nikon) qui correspond à la priorité à l’ouverture (Aperture en anglais).
En mode Manuel, le but est de vous laisser régler la vitesse et la profondeur de champ par vous-même. Pour ne pas avoir à gérer la sensibilité dans les différentes situations de luminosité, régler en mode Auto les ISO. Avec ce triangle de paramètre, vous décidez de la vitesse d’obturation et de la profondeur de champ pour obtenir le résultat voulu. Cette méthode est valable sur les appareils photo qui autorisent le mode ISO Auto. Si vous ne possédez pas cette fonction, pour de la photo animalière, mettez-vous sur Tv (Time Value) ou S (Speed) en mode priorité vitesse si le sujet se déplace rapidement. N’oubliez pas d’ajuster la sensibilité ISO entre 100 et 800 iso pour garantir un résultat optimal de l’image.
Si le sujet nécessite une plus grande profondeur de champ à cause de la proximité, changer la technique en passant sur le mode Av ou A en veillant à ajuster la sensibilité. Familiarisez-vous avec ses modes, car la photo animalière en forêt suppose des changements de mode fréquent.
Quelles caractéristiques de carte mémoire prendre pour votre appareil photo ?
Deux fonctions dépendent de la carte mémoire. La première est le stockage de vos clichés. La seconde est la cadence de prise de vue en rafale. En effet, la cadence sera conforme aux spécifications du constructeur que si la carte mémoire est en capacité d’enregistrer les données aussi vites qu’elle les reçoit, sans ralentissement. Dans le cas contraire, la rafale sera ralentie pour laisser la carte mémoire le temps d’enregistrer les photos à sa vitesse. En effet, chaque carte mémoire possède des caractéristiques en vitesse d’écriture et de lecture. Selon la qualité de celle-ci (et surtout du prix aussi), vous aurez des vitesses plus ou moins grandes.
Imaginez prendre une séquence de 12 photos en rafale (6 img/s) et que chaque image pèse 45 Mo. Il faudra que la carte écrive 270 Mo/s (45 x 6) pour que vous n’ayez pas de ralentissement dans la séquence de prise de vues. Donc, il est important de connaître le poids de chaque photo en lisant la notice et de choisir le modèle de carte mémoire qui autorisera une vitesse d’écriture supérieure à ces 270 Mo. Ces valeurs sont décrites sur les modèles de carte.
De plus, selon les modèles de reflex, les types de cartes sont différents, mais ont toutes les mêmes fonctions. Pour avoir une certaine autonomie, veillez à choisir des modèles de carte permettant de contenir suffisamment de photos pour une journée. Ce peut être une ou plusieurs cartes de 32 Go ou une de 64 Go. Personnellement, pour les vacances j’emporte toujours 4 ou 5 cartes, au cas où. Sinon, voici ici quelques exemples trouvés chez les 2 grandes marques du marché Nikon et Canon :
- Carte XQD
- CompactFlash
- SDXC
- SDHC
- SD
Si vous avez l’intention d’acheter un boîtier reflex ou un reflex hybride, demandez quelques types de cartes mémoire utilise le modèle en main, le poids de chaque photo et l’autonomie de la batterie. Ces paramètres vous aideront à estimer la quantité d’octets nécessaire pour une charge batterie dans un premier temps. Ajustez ensuite vos besoins en complémentant par une seconde carte et peut-être aussi une autre batterie.
Quels habits et accessoires choisir pour la forêt ?
Pour la photo animalière en forêt, passer inaperçu est essentiel afin de ne pas être détecté par l’animal. Les sens de ces derniers étant affûtés, il vaut mieux réduire au maximum les indications de notre présence. Ainsi, des vêtements neutres (gris foncé, marron, vert kaki) et confortables réduisent les risques de repérage à distance. Mieux encore, les habits de camouflage que l’on trouve au rayon chasse d’enseignes comme Décathlon sont tout à fait étudiés pour camoufler son porteur en forêt.
Les Ghillies sont des tenues complètes de camouflages que l’on peut trouver à des prix raisonnables sur Internet. Choisissez un pantalon, un sweat, un polaire, une veste, une casquette (ou un bob), des gants (pour le froid et/ou le camouflage), une cagoule de couleur kaki ou imprimé, genre feuilles des bois. J’allais oublier les chaussures qui devront être confortable, mais résistantes comme des celles que l’on utilise en randonnée.
Ensuite, selon vos préférences, vous pouvez ajouter à cette liste un monopode qui permet de stabiliser la prise de vue et de supporter le matériel. Parlez-en autour de vous pour essayer avant de vous lancer dans un achat. Beaucoup ne sont pas à l’aise avec ! Donc, il vaut mieux le tester pour se faire une idée de son utilité pour vous. Enfin, je terminerais cette section par des jumelles d’observation, élément à prévoir à moyen terme pour un repérage efficace.
Pourquoi se documenter préalablement ?
La photo animalière en forêt demande une certaine approche documentaire. Pour l’animalier, faites des recherches dans les guides régionaux si vous en avez. Consulter Internet pour savoir quelles sont les richesses ornithologiques de la région à visiter.
Vous n’imaginez pas la mine d’informations que vous trouverez sur le net. Vous pouvez savoir quand et où pour presque toutes les espèces de mammifères, d’oiseaux, de papillons. Ce que je vous dis est tiré de mon expérience personnelle. Les guides naturalistes que vous achetez vous apportent les principaux renseignements. Internet les complémente avec de la localisation régionale.
Avec le temps et la fréquence des visites sur le terrain, vous découvrirez les habitudes des animaux, le nombre d’espèces présentes, leur abondance. Ainsi, se concentrer sur quelques spots en toutes saisons augmente vos chances de réaliser des clichés originaux.
Où rechercher les animaux sauvages en forêt ?
Vous vous êtes fixé des objectifs. Minutieusement, vous avez étudié les grandes lignes des possibilités de votre région. Maintenant, il vous faut prospecter les zones forestières pour voir si vos projets pourront se concrétiser. Si votre choix se porte sur les mammifères (cerf, chevreuil, renard, blaireau, etc.). Vous aurez à trouver des indices de leur présence. Ce peut être un terrier, des traces de sabots, des crottes laissées sur une coulée. Existe-t-il des bauges à sangliers ? Ces recherches nécessitent de la concentration et du temps, car il vous faudra arpenter les zones susceptibles de confirmer leur présence. L’avantage des 4 pattes est leur sédentarité, ce qui veut dire que vos déplacements peuvent être faits toute l’année.
Photographier les oiseaux en forêt est un peu plus complexe, car leur population est composée de migrateurs et de sédentaires. En clair, une grande partie de l’avifaune est réduite pendant l’automne et l’hiver, ce qui réduit la quantité d’espèces et donc des chances de les observer. Cette incidence a pour effet de réduire votre temps de recherche à leur période de présence sur notre territoire. De plus, les conditions lumineuses plus ou moins sombres impactent le résultat photographique.
Je n’en ai pas parlé dans le point numéro 4, mais si vous souhaitez photographier l’avifaune, apprenez à distinguer le chant des oiseaux. Cette connaissance est un vrai plus dans cette pratique de la photo. Avec des jumelles, un guide ornitho et la reconnaissance des chants, vous aurez un aperçu des espèces présentes. Repérez aussi les buissons portant des baies par exemple, ils sont attractifs ! Les points d’eau sont aussi des lieu privilégiés par les animaux. Cartographiez les mares et étangs pouvant être visités, vous ferez surement des découvertes.
Visitez les différents types de milieux (forêts, prairies sauvages, clairières, marais) multiplieront vos chances d’approcher les oiseaux. Tentez votre chance à la billebaude ou à l’affût avec un filet. Là encore, j’aime bien la première méthode qui me permet d’explorer plusieurs endroits et de multiplier les occasions de prises de vue.
Pourquoi connaître son environnement immédiat ?
Cela peut paraître une évidence, mais nous avons souvent tendance à négliger les espaces naturels proches de chez soi. On y passe du temps, on fait des kilomètres et on rentre fatigué sans avoir le résultat escompté. Le dernier confinement du printemps 2021 m’a poussé à visiter des zones forestières que j’avais ignorées jusqu’ici. Eh bien, j’ai réalisé que la richesse faunistique était insoupçonnée. Et oui, bien connaître son environnement immédiat en photo animalière est un gage de succès. Les avantages sont que vous pouvez vous y rendre très souvent et vous économisez du carburant. Ces opportunités vous révéleront tous les oiseaux qui peuplent les alentours. Vous y découvrirez un petit monde bien organisé avec chacun sa spécialité.
L’idée serait de se procurer une carte de la région sur forme numérique ou papier pour chercher ses spots photo. Bien sûr, cet apprentissage de son environnement prend du temps. La photo animalière en forêt est une occupation qui est bonne pour la tête et le corps. Prenez des notes des questions que vous vous posez. Une fois revenu chez vous, faites quelques recherches.
Quel est le meilleur moment de la journée pour la faune sauvage ?
Pour photographier des animaux, l’équation est simple ! Il faut un rendez-vous entre vous et eux. Eh oui, comme je l’ai expliqué plus haut, l’étude de l’écologie et de la biologie de la bête renseigne le photographe sur ses habitudes. Ainsi, fort de ces précieux renseignements, vous saurez s’il vaut mieux sortir le matin, l’après-midi ou en soirée. Tout dépendra de votre objectif. Les passionnés de photo macro ont les mêmes impératifs.
La plupart des mammifères sont actifs le matin et en soirée tandis que les oiseaux le sont à différents moments de la journée. Quelques sorties de vérification pour apporteront la réponse. Et puis, si vous connaissez d’autres photographes de nature, parlez-en avec eux. Ils vous apporteront un éclairage par leurs observations.
Une autre raison de choisir le bon moment de la journée est pour obtenir une belle lumière. Celles du matin et de la fin d’après-midi peuvent sublimer vos images. En macrophotographie, les journées grises permettent des rendus contrastés et saturés à vos photos, pensez-y !
Pourquoi caler son calendrier avec celui de la nature ?
Je parle de calendrier et de nature pour attirer votre attention sur le fait que vous pouvez faire de la photo nature tout au long de l’année. Cette discipline n’est pas réservée au printemps et à l’été. Il se passe toujours quelque chose en animalier. Ce qui veut dire qu’avec le temps et quelques recherches sur Internet, vous pourrez vous fixer des activités différentes comme la prospection de spots que vous ne connaissez pas. Changez de coin et peut-être de région pour explorer d’autres types de milieux. N’hésitez pas à élargir votre prospection.
Pensez par exemple, aux oiseaux migrateurs qui stationnent provisoirement dans votre région. C’est l’opportunité d’approcher des espèces inhabituelles ! Enfin pour terminer cette section, vous verrez que votre calendrier se remplira au fur et à mesure de rendez-vous annuels. La photo animalière en forêt nécessite d’avoir du temps à observer , à prospecter. Il faut bien plusieurs années pour bien connaître son secteur.
Quel logiciel de développement photo utiliser ?
Quand vous déclenchez l’obturateur de votre appareil photo, un fichier est enregistré sur votre carte mémoire. Selon le réglage de votre boîtier, vous trouverez soit un fichier JPEG, soit un fichier Raw (NEF chez Nikon et CR2 chez Canon). Chez les autres marques, vous aurez le même système avec une extension différente.
Qu’est-ce qu’un fichier Raw ?
Raw en anglais signifie brut. À la différence du JPEG, dans le Raw se trouvent les données brutes du capteur enregistrées pour l’image. On peut comparer ce format au négatif de l’époque argentique. Il sert de base au développement. Le boîtier a enregistré dans ce fichier des informations comme la vitesse de l’obturation, l’ouverture, les teintes, le type d’objectif, l’usage du flash ou pas, etc.). Ces données sont stockées dans le fichier Raw que peut exploiter à votre avantage le logiciel photo.
Quels logiciels de retouche photo choisir ?
Tout d’abord, je ne vous conseille pas les logiciels de retouche photo qui proposent des abonnements mensuels ou annuels. Le coût de revient devient prohibitif pour votre porte-monnaie. Il vaut mieux se tourner vers la licence perpétuelle ! Son avantage est l’achat unique. Avec regret j’exclus d’emblée l’excellent Lightroom (Adobe) qui n’est proposé aujourd’hui qu’en abonnement. Mais si vous avez une version du logiciel et que vous ne savez pas vous en servir, vous pouvez vous former grâce à un tuto photo. Lorsque vous achèterez votre appareil photo numérique, vous trouverez dans la boîte de quoi installer un logiciel de retouche photo maison comme DPP (Canon) par exemple. Ne vous y trompez pas, ce n’est pas la crème dans le domaine. Il y a les champions et les challengers.
Voici donc une liste non exhaustive de 5 logiciels de retouche photo avec licence perpétuelle et un gratuit :
- DXO PhotoLab 7
- Capture one
- GIMP (gratuit)
- Luminar 4
- Affinity photo
- Corel PaintShop Pro
Ma préférence va à DXO Lab7 qui avec son expertise en débruitage fait des miracles sur des photos prises en haute sensibilité (au-delà de 1000 iso). Non seulement, il fait le bien le job, mais il m’a permis de « rattraper » des clichés que j’avais exclus de ma sélection pour du partage sur les réseaux sociaux et pour mes articles sur ce blog. Le logiciel est complet et fonctionne bien en tandem avec Lightroom en ce qui me concerne. De plus, sa licence perpétuelle m’évite un abonnement hors de prix. Sinon, vous trouverez tous les réglages possibles pour développer vos photos.
Prêt à vous lancer ?
La photo animalière en forêt est un vaste sujet qui se décline à volonté selon les individus. Même avec un petit budget, il est possible de se lancer. Pour débuter en photographie, ces 10 conseils vous amèneront probablement vers d’autres questions. Mais dans tous les cas, ils vous feront gagner du temps sur un apprentissage qui est souvent basé sur les erreurs. Éviter de les faire est bien plus productif ! Je ne saurais que trop vous recommander de pratiquer ce loisir avec éthique dans le respect de la faune et de la flore.
Passer du temps à observer et à comprendre la nature est un processus formateur. Profitez-en pour noter ce qui vous servira d’une année sur l’autre. Discutez avec d’autres passionnés pour progresser techniquement. Pourquoi ne pas créer un site internet de photo animalière ? Partagez votre passion avec vos amis à travers un livre photo. S’il vous manque des informations, recherchez un tuto de photo animalière. Soyez curieux et surtout faites-vous plaisir !
Bonjour Djamal,
Merci pour tous ces conseils très complets pour que de beaux moments ne restent pas que dans la mémoire.
La photo ne s’improvise pas, c’est l’idée générale ô combien vraie, même si la chance se trouve ou pas(?) sur le chemin.
Merci pour les infos sur les logiciels complémentaires.
Jean